Certainement pas celle de cet ouvrage qui me tiendra occupée jusqu'à l'hiver, ni de mes en-cours. Non, je parle de l'été. Il faut se rendre à l'évidence, les jours raccourcissent et ça commence à se voir.
Je ne devrais pas me laisser aller à une déprime pré-automnale (ce serait vraiment du temps perdu) et mais plutôt me rejouir à l'idée de partir une semaine à Paris. En tête, une petite liste de choses à faire. Dans mes valises, le cadeau pour
la gagnante de mon petit jeu. J'aurai même le plaisir de lui remettre en main propre.